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*Ma vie de maman Fée*
7 août 2017

Le retour à la maison: le côté papaillettes

Il est enfin temps de rentrer chez Nous, à 3! 

Bien sûr, j’en suis enchantée ! J’attendais ce jour avec impatience ! Mais forcément, avec le retour à la maison, une nouvelle dynamique va devoir se mettre en place, avec ses bons côtés comme ceux plus difficiles.
Si tu es une jeune maman en devenir ou que tu as peur d'être dégoutée de cette envie d'enfanter, fuis et ne te retourne pas!! J'ai pertinemment conscience que mon article pourrait en décourager plus d'une...

Côté papaillettes :

-          Cette nouvelle dynamique va directement se situer dans la gestion de cette nouvelle vie à 3, tu t’en doutes bien ! Bien que Nous revenions dans Notre Chez-Nous, bourré de repères rassurants, Nous n’avons pas encore ces repères pour ce nouveau petit être !
Il pleure : que doit-on faire ?! Il a faim ? Non, il vient de manger il y a 2h, il ne peut pas encore avoir faim ? Peut-être que si ? On refait un bibi ? Ah, bon, il ne le boit pas, c’est qu’il n’a plus faim ! Il a fait caca ? Bon, on le change, non rien, nickel.
BEN QUOI ALORS ? Il continue de pleurer, vous ne savez pas quoi faire et ici, il n’y a plus de sage-femme pour vous rassurer.


Quand vous avez un moment de répit, j’en reparlerai dans l’article bilan des 1 mois, il faut choisir : manger ou dormir ? Ou passer du temps à deux ?
Et c’est là que cette nouvelle dynamique devient plus compliquée : non seulement, on doit gérer cette nouvelle vie à 3, mais on doit également revoir intégralement cette vie à 2, parfaitement règlée au bout de 11 ans ! Et là, c’est dur… Parce que bon, ne plus avoir vraiment de temps pour soi, on peut le digérer… Mais quand votre mari craque parce qu’il voudrait une soirée rien qu’avec vous et que c’est impossible parce que bébé ne dort pas, bébé a mal, il pleure, etc. Eh bien c’est surtout là que les choses deviennent compliquées et qu’on s’interroge sur le fait d’être capable de tenir le coup personnellement et au niveau du couple !  Le maître-mot : patience … et espoir ! (mais pas trop !)

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-          Le plus difficile, c’est donc ce stress permanent : tant que bébé ne parle pas, impossible de comprendre souvent pourquoi il pleure ! Et ça, c’est TRES angoissant et nerveusement peu supportable…

Quand vous êtes à 2 les premiers jours pour gérer ça, l’Autre est là pour prendre le relai quand vous craquez ou tout simplement pour diminuer la charge de « shift ». Mais dans Notre charmant pays déjà bien chanceux, Monsieur doit retourner travailler après 10 jours. (considérant qu’on en a passé 6 à la maternité…) Et là, vous vous retrouvez vraiment seule ! De 7h30 (grosso modo) à 17h : vous êtes seule à devoir supporter gérer ce petit être. Mais n’oublions pas, il y a eu la nuit ! Et même si mon Mari est un Amour et gère la moitié de la nuit, je dors quand même très peu ! Et le problème, c’est que mon petit Chibichou ne daigne pas me laisser dormir la journée pour recharger un peu mes batteries…  Alors,
Le 21ème jour : j’ai craqué.
Le 21ème jour : je l’ai déposé en larmes, à 13h36, après 1h10 de cris et de larmes mutuelles, je l’ai déposé dans son parc et je suis montée m’enfermer 5 minutes dans la salle de bain pour pleurer.
Le 21ème jour : j’ai frappé dans la porte des toilettes, parce que j’avais besoin de me décharger. Et désormais, chaque jour qui passe, je vois ce trou dans la porte et cette clinche cassée qui me rappellent ma faiblesse.
Le 21ème jour : j’ai utilisé pour la première fois son transat, où je l’ai déposé et balancé légèrement pour ne plus avoir à le toucher parce que oui, j’ai eu peur de lui faire du mal. Je n’osais plus le toucher, je me suis dit que ma nervosité était trop forte, que sans le vouloir, je pourrais le prendre trop violemment, le serrer un peu trop fort sous les aisselles, que je pourrais lui crier dessus pour lui dire d’arrêter de hurler « pour rien »… Et donc je l’ai balancé avec mon pied, une fois posé dans son transat, pour éviter ça… Je me suis balancée aussi, et mon Mari est rentré et il nous a trouvé dans cette position de désespoir, en train de pleurer tous les deux… 
Le 21ème jour : J’ai craqué.

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Parce que là, vous vous rendez compte que vous êtes vraiment seul. Je me plaignais déjà du peu d’encadrement à la maternité mais là au moins, je pouvais me dire qu’au besoin, on était déjà à l’hopital… Ici, je me retrouve avec des pédiatres en vacances, des sages-femmes ou l’ONE qui ne sont pas disponibles avant 2 jours et un entourage, ou inexpérimenté, ou en vacances ou qui ne Nous en allège pas moins Notre stress et Notre fatigue en répétant que « C’est normal ». 

Par contre, j’ai immédiatement repensé à un article que ma sœur avait partagé et que Nous avions lu avec mon Mari en Nous disant que ça n’arriverait pas, eh bien si. Je te mets le lien de l’article en question car celui-ci m’a permis de vraiment commencer un peu  à déculpabiliser. (L’article : http://www.dans-ma-tribu.fr/visite-des-services-sociaux-en-allemagne/)

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-          Et cela m’amène au point suivant dont beaucoup parlent mais même quand on s’y attend, s’y retrouver confronté devient l’épreuve du feu : la gestion des gens et leurs « conseils ».
Que ce soit de la part des « experts » qui se contredisent (« Non mais un bébé, faut le nourrir dès qu’il réclame, c’est qu’il a faim, même s’il mange 150 cc toutes les 3h et qu’il a pris 800G en 10 jours, s’il n’a plus faim, il s’arrêtera de lui-même quand son estomac sera plein, ça n’existe pas la gourmandise c’est qu’il en a besoin !» VS « Ah non, il faut lui donner toutes les 4h et pas avant ! Il mange beaucoup trop ! Ca n’aidera pas ses coliques… » « Prenez quelques infusions au tilleul ou à la camomille, ça aidera sa digestion et le calmera pour dormir » VS « Oui mais alors les infusions, ça augmente le risque de mort subite hein… »)
ou de Nos proches à qui, forcément, on parle de Nos difficultés puisque ce rythme et ce petit bout sont au centre de Notre vie actuellement, et qui se transforment en pédiatres-psychologues-ostéopathes-pharmaciens-dresseurdeserpents-meilleurparentsdumonde … « Fais comme ça, fais comme ci, tu vas le rendre capricieux (euuh, il a 3 jours… !), il fera jamais ses nuits comme ça, moi je le laissais pleurer (GENRE !), selon la recette de l’arrière grand-mère de la copine du voisin de mon petit cousin au 18ème degré, … »

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Alors, autant, on a essayé un peu tout ce que les pédiatres et autres spécialistes Nous ont recommandé sans grand succès, autant par contre, ces fameux conseils des proches, je m’en tamponne car non, aujourd’hui il a été prouvé que laisser pleurer son enfant pendant 2h dans sa chambre pcq tu comprends, le bibi c’est dans 4h, bah nan ça lui fait pas ses poumons ! Pcq ça a été prouvé aujourd’hui que de prendre ton fils de 3 semaines dans tes bras quand il se réveille en sursaut à cause d’une colique ou que le seul moyen de l’apaiser, c’est de le prendre en écharpe : non, ça ne le rendra pas difficile ou dépendant ! Au contraire, à force de le rassurer, il osera plus facilement des choses comme aller dormir tout seul dans sa chambre. Comme je l’ai lu, a-t-on déjà vu un ado de 16 ans toujours dans l’écharpe de portage de sa maman ?! Please ! Et franchement, souvent au point où on en est, on fait ce qu’on PEUT. Si l’écharpe est la seule chose qui le calme : je prends ! S’il devient difficile plus tard, eh ben on gèrera… plus tard ! Là, on a besoin de souffler un peu… Alors,
ARRÊTEZ de Nous dire que c'est normal, comme si vous ne vous rendiez pas compte du niveau de rupture auquel on est. (Vous pouvez sentir toute la nervosité latente dans cet article, j'en suis désolée, mais c'est ce qui compose intégralement le côté Papaillettes de la vie de parents et si je faisais abstraction de ces sentiments, ce serait mentir et mon blog n'aurait plus aucun intérêt!)
ARRÊTEZ de Nous dire qu'il faut qu'on se fasse une raison et que c'est dur jusqu'aux 3 mois. Déjà, c'est pas dur, c'est insupportable et surtout, vous croyez que de voir que je vais encore souffrir (et mon fils avec!) pendant 1 mois et demi, ça m'apaise?? Sérieusement, ça donne juste envie de tout laisser tomber et de se tirer une balle... (oui oui... Vous sentez le niveau de rupture dont je parlais?)
ARRÊTEZ de Nous prodiguer 14 fois les mêmes précieux conseils, si on ne vous a pas écouté la 1ère fois, c'est qu'on ne partage pas votre avis mais qu'on a essayé d'être diplomate et par ailleurs, quand vous Nous demandez comment ça va et qu'on parle de tous ces soucis, c'est pas forcément pour chercher une solution. Une solution on en cherche une avec les experts! 
PAR CONTRE, avec vous, ce n'est pas une solution dont on a besoin, mais simplement de soutien, comme le font très bien d'ailleurs certains amis ou pédiatres, de Nous dire que ça doit être dur, qu'ils compatissent, qu'on est forts et qu'on peut tenir le coup, qu'ils savent qu'on fait de Notre mieux et que ça finira par payer, qu'à force d'essayer, on trouvera une solution! Voilà ce dont de jeunes parents ont réellement besoin... Pas de se sentir critiqués (même si ce n'est pas votre intention hein!) dans les moindres de Nos choix... On sait que les gens pensent Nous aider en faisant ça, mais au contraire, vous banalisez Notre souffrance comme un bout de nourriture coincé entre vos dents. En tout cas, là, c'est comme ça que Nous le vivons et on n'a ni le temps ni l'énergie en l'état de faire un travail sur Nous pour se concentrer uniquement sur la bonne intention qui est derrière... On ne peut juste pas... #L'EnferEstPAvéDeBonnesIntentions
(à lire, un autre excellent article : https://happynaiss.com/2016/09/26/ces-choses-que-jaurais-aime-savoir-sur-le-sommeil-des-bebes/

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-          Lié à tout ça, on a donc un sérieux problème de lâcher prise : OUI, on rêverait de confier Notre fils 4h, une soirée ou même, le rêve, une nuit  pour pouvoir dormir un peu. Mais, de deux chose l’une : d’abord, dans son état de coliques intenses et de reflux, on ne peut pas envisager encore de le confier, les gens, tout comme Nous, ne saurons pas quoi faire et Nous sommes les 2 seules personnes dont la voix et l’odeur l’apaisent un minimum… On voit déjà la différence entre mon Mari et moi selon celui qui le porte en écharpe: l'apaisement n'est malheureusement pas le même...
J’aurais l’impression de l’abandonner à son triste sort et en plus, j’aurais peur que le baby-sitter le déteste après ça (oui oui!) pcq 10 minutes d’un bébé qui vous hurle dans les oreilles, même quand c’est la personne la plus importante de votre vie, ça a un effet qui ne rate pas, alorsi maginez quand ce n'est pas le vôtre!) !! Ensuite, il Nous faut encore trouver ces personnes de confiance : comme dit plus haut, entre les vacanciers (et ils ont amplement le droit de profiter de leurs vacances au bout du monde, ce n’est pas LEUR bébé !), les inexpérimentés et les personnes qu'on n'envisage tout simplement pas pour prendre soin de Notre fils (entendre, avec une mentalité qui ne colle pas du tout à la nôtre et qui ne met pas en confiance pour leur laisser Notre ChibiChou plus de 15 minutes: Par exemple, quand on Nous répètent qu’il faut laisser pleurer bébé: ok, donc admettons que je te confie mon bébé 4h, je suis censée partir l’esprit tranquille en sachant que s’il pleure après 1h, on va le laisser hurler tout seul pendant 3h ? C’est censé me rassurer et me pousser à faire confiance à la personne qui se propose? Seriously ?!), eh bien on ne peut pas encore lâcher prise même si on devient de plus en plus désespérés…

-          Accessoirement, entre cette gestion des personnes et les crises de Notre ChibiChou, il Nous est impossible de recevoir des gens à la maison après le boulot de mon Chéri. Nous prévoyons donc les visites en journée, une par jour, maximum 2 et de préférence le w-en quand Nous sommes à 2 pour les recevoir.
Seulement, beaucoup ne comprennent pas que Nous ayons un horaire aussi strict. Et pourtant, simple exemple, ma petite sœur est venue un vendredi soir, à 18h, nous rendre visite. A Nous voir mon Mari et moi au bout de Notre vie, elle Nous a demandé si on était « déçus »… Mais quelle question !! Non! J’adore et j’aime mon fils plus que tout ! Par contre, je comprends sa question, oui, on ne s’attendait pas à être autant en mode survie…
Et figurez-vous que le lendemain, ma 2ème sœur me proposait de passer pour Nous aider pcq la 1ère Nous avait réellement trouvés au bout de Notre vie. Donc non, en fin de journée, on est défaitistes pcq on a peur de la « nuit » qui va arriver et pcq on est à bout de nerf ou en larmes en fin de journée !
Sauf que du coup, c’est encore plus difficile de devoir dire non à des grands-parents en adoration devant Notre petit Prince, qui voudraient passer tous les 2 jours, même 5 minutes, ça reste une visite, une gestion sociale (qui est lourde pour Nous, surtout en ce moment!) et surtout, un partage de Notre désarroi et des plus mauvais côtés qu’on voit en fin de journée et qu'on n'a pas forcément envie de montrer justement… On n'a pas envie d'étaler cette face égoïste ou à bout de souffle à chaque ami qui passe après 17h... Donc en plus du reste, on redoute de décevoir, que les gens ne comprenent pas ou pensent qu'on se trouve de faux prétextes... … Youhou !
C'est vrai que, parfois, on n’a peut-être simplement PAS envie de recevoir des gens, on a peut-être juste besoin de profiter de ce samedi matin, moment que l'on sait apaisé, pour être au calme, à 3 et Nous retrouver un peu en période sereine ou vaquer à Nos obligations quand tout est paisible car il ne faut pas oublier que personne ne fera tes courses, tes repas, payer tes factures, emmener le chat se faire vacciner, faire ton ménage ou ta lessive !

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-          Une meeeeeeeeeeeerveilleuse chose dont PERSONNE ne m’avait jamais parlé, ce sont les douleurs post-accouchement. J A I M A L P U T A I N .
Voilà.
Dans mon article sur le séjour à la maternité, je me suis essentiellement focalisée sur le malêtre de mon bébé (#DéformationMaternelle) mais j'ai pas mal souffert physiquement aussi...

En gros, tu continues d’avoir des contractions après l’accouchement. J’en ai eu encore jusqu’à 4 semaines après, et elles se sont arrêtées quaaaand… j’ai été règlée ! … Disparition d’un type de douleur pour laisser la place aux autres…
Ces douleurs s’expliquent car ton utérus se contracte pour récupérer sa taille normale et par conséquent, laisser au reste de tes organes l’espace pour reprendre leur place de base. Sauf que tout ça, ça fait mal ! Extrêmement mal... Et pourtant, je n’ai cessé ni mes anti-inflammatoires toutes les 6h, ni mes Dafalgan ! Pour te dire…
Accessoirement, tu saignes de malade ! (Désolée, c’est pas glam mais c’est la vérité !) Et de nouveau, j’ai eu la paix 3 jours avant d’être règlée… Yay !
Le problème de tout ça, c’est que pour récupérer plus vite et correctement, on doit s’économiser. Je détestais déjà ce mot enceinte mais alors là, je fais COMMENT ?! Je ne dors pas plus d’1h30 la nuit et la meilleure sieste de mon bébé m’a laissé 26 minutes pour me recharger la journée ! Puis, je dois bien me baisser pour prendre mon bébé dans son parc ? Je dois bien le porter ? Alors quand Monsieur MonChéri est là, je peux déleguer un peu mais quand il est au travail, c’est 10heures pour mon dos ! … Et là, on a TRES mal… Entre ces douleurs, les douleurs à la poitrine quand il y a montée de lait, que vous avez essayé l’allaitement (avec ou sans crevasses vos frittes ?) et que ça tire encore quand bébé est tout près… Que vous devriez prendre 3 douches chaudes par jour pour masser vos seins afin de diminuer l'engorgement et réduire les mastites qui se forment en boules dures mais que vous avez juste le tps de prendre rapido une douche (voir moins!) quand votre Mari rentre.... Notre corps encaissent encore énooormément alors que tout le monde ne se préoccupe plus que du bien être de votre bébé et que vous, vous attendrez votre unique rendez-vous gynéco 6 semaines plus tard (9 semaines quand comme moi, vous tombez pendant les vacances du vôtre !) ou que tout simplement, la terre entière ignore que ces douleurs-là existent après l'accouchement …

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-          Enfin, ce fameux corps, il a bien changé. Je suis rentrée chez moi avec ce que j’appelais « un ventre de bébé ». Il était certes, plus gros qu’avant ma grossesse mais surtout, il était tout mou, sans aucun muscle !!
Alors, je ne suis pas du tout une grande adepte de sport mais j’ai toujours eu la capacité de sculpter un peu mon ventre en sablier et avoir quelques abdos… Et là, pouf ! Tout disparu ! Alors au début, ça ne me gênait pas tant que ça ! Sauf qu’en 5 semaines, mon bidou a repris un peu de gras puisque je ne mange que le soir, quand Chéri est là pour prendre le bébé et m’en laisser le temps, mais du coup, je mange mes 3 repas en un ! Puis, fini les repas sains qu’on met 2h à préparer, le retour, ça a été pizzas, pâtes, etc ! Et en plus, les 2 premières semaines, je me suis bien rattrappée sur les interdits de grossesse: à moi saucisson et croutes aux fraises à volontééééé!
Et il m’est interdit de refaire le moindre sport avant d’avoir remusclé mon périnée, rééducation qui ne pourra commencer que 6 semaines après mon accouchement… donc je vais mettre un fameux moment pour récupérer ce corps que je ne reconnais plus… L’enjeu n’est pas tant esthétique que psychologique finalement…

 

Voilà, le retour à la réalité n'est donc pas si rose que tout le monde le cache dit ou en tout cas, pas pour tout le monde! 
Un soir de coliques, on se dit qu'on peut supporter, 1 semaine sans dormir, ça devient déjà du sport, mais là, Nous en sommes à quasiment 6 semaines et ça commence à faire beaucoup autant nerveusement que physiquement... 

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Commentaires
*Ma vie de maman Fée*
  • Malgré de multiples mésaventures, ça y est! Je suis enceinte! Après la joie de cette découverte, la réalité m'a vite rattrapée et il est grand temps que je vous livre la face cachée d'une Maman Fée en devenir!
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